- Rimski-Dvořakov - |
HSP_12_RimskiDvořakov par le mime aphone
Une résidence musicale assez particulière vient de prendre fin. Depuis un mois, enfermés dans l'immense cave du mime aphone, subissant les plus odieux sévices, un orchestre symphonique a vécu reclus pour donner naissance au fils caché, bâtard improbable, d'Antonín Leopold Dvořák et de Nikolaï Andreïevitch Rimski-Korsakov, la vision malsaine et obsédante du mime aphone qui s'investit pour l'occasion du pouvoir de donner vie au golem. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le résultat n'est pas tant que ça empreint de ténèbres et de terreur, et il semble bien que le mime aphone, quoique je réprouve en tant que Tigre fondateur la méthode, ait accouché d'un génie. Laissons donc la place à Nikolín Leopoïevitch Rimski-Dvořakov. Musique !
Antonín Leopold Dvořák
- Concerto pour violoncelle et orchestre en si mineur, Op. 104
- Scherzo capriccioso, Op. 66
Nikolaï Andreïevitch Rimski-Korsakov
- Shéhérazade, Op. 35
- Capriccio espagnol, Op. 34
- La Grande Pâque russe, Op. 36
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